Pourquoi les outils de prévention sont essentiels tant pour les psychologues cliniciens que pour leurs patients
Prévention de l’obsolescence humaine programmée.
P réjudice.Ou l’impact des stress chroniques issus de la vie familiale. D’ Antoine Kuypers.
La stratégie d’une perverse narcissique (une mère) et d’un manipulateur dans une famille (un frère) pour mettre et maintenir un fils (et un frère) en “maladie chronique”, ce qui arrange les deux premiers.
L’une (la mère – qui peut aussi être une belle-soeur ou une belle mère, etc,.) n’est coupable de rien ( ce genre de personnage sans empathie ou jalouse maladive est probablement la cause principale d’une partie la destruction de la planète en terme de désastres, d’obsolescence humaine et matérielle) et l’autre, le frère attise ce désastre. Le père, qui pourrait et devrait protéger la vraie victime, cad son fils, subit et se tait pour conserver sa place. Il ressemble à un vieux clown triste et psychorigide, l’inverse de ce qu’il était au crépuscule de ses 20 ans.
Ce type de perverse narcissique sans aucune amie, s’entoure par contre d’avocats véreux se gorgeant d’argent public et médecins arrogants avec pignon sur rue et/ou de membres de la famille qu’elle utilise comme étant ses bras armés (l’archétype des bêtes et méchants) pour tirer son épingle du jeu, assoir sa destruction et se présenter de surcroit comme une victime. Le profil auquel elle s’identifie : son arbre généalogique qu’elle a nettoyé à l’eau de javel pour y laisser sa descendance enfantée et éduquée dans une hypocrisie qui assassine tout développement d’une famille pour la vraie victime. Pas de chance pour la perverse, l’issue se retrouvera dans une banale série netflix de type bloodine. Allez, une petite fondation ? Un petit geste humanitaire ? Allez, se donner bonne conscience ?
Le genre est interchangeable. L’Autriche est la demande mais aussi la solution. Code bonheur de la valise commune : 19.01. Virez les ours toxiques de sa maison.
T he Bonus family. Notre grande famille ; série suédoise Netflix. Session 1, Episode 8, minute 29, minute 42.
Là ou Lisa a compris le système des examens cliniques qui risquent d’impacter négativement la vie de son fils. « Ne comptez pas me vendre ces conneries »,… « Oui , j’estime que Patrick aurait du défendre Eddy ». Seule, Lisa lutte pour défendre son fils contre le système des « experts » et son point de vue : « je suis la seule à l’aimer ici »…. Magnifique scénario. Mais, quand donc les professeurs de philosophie dans les facultés universitaires se réveilleront-tils pour lutter contre ces systèmes de pression et d’abus de pouvoir mis sur un jeune parent de type “Lisa” pour favoriser des circuits économiques non éthique ? Au détriment du bon sens et d’une analyse systémique de la situation? Cette série est remarquable par ce que le bon sens fini par rattraper l’ensemble des protagonistes et la place qui revient à Eddy.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19559771&cfilm=234315.html
V ol au dessus d’un nid de coucou de Milos Forman.Ou l’impact de l’abus de pouvoir décisionnel sur des personnes jeunes et/ou crédules.
Le cinéma à bien exploré la folie de certains mégalomanes et psychopathes dont l’ultime plaisir était de rentrer dans la sacro sainte boîte cranienne pour en percer ses mystères. Ce film “Vol au dessus d’un nid de coucou” à déclenché un mouvement d’indignation international qui a permis d’arreter la banalisation des lobotomies (on retire une partie du cerveau), et des électrochocs effectués par des neuros-sociopathes dans des services de neuro-psychiatrie sur des personnes vulnérables. Les électrochocs sont à nouveau pratiqués dans les hopitaux psychiatriques et les lobotomies sont à nouveau effectués par certains dont quelques psychopathes sous la forme soft de retrait de “tumeurs au cerveau”. Comme on ne connait que 10% du cerveau, cad pas beaucoup plus qu’à l’époque du film “Vol au dessus d’un nid de coucou”) on ne devrait pas le soigner avec 100% de certitudes ni sur base d‘IRMf (utilisées pour le cerveau) qui produisent 70% de faux positifs, cad de faux diagnostics sans compter l’extrême dangerosité de l’utilisation du produit de contraste injecté lors de l’IRM – le très toxique voir mortel gadolinium =avant dernier paragraphe du point 2.2.).
Parenthèse pour le gadolinium et la sclérose e plaques. Il est à noter que les services de neurologie imposent à leur (parfois très jeune) patients deux IRMf de “contrôle”par an, en cas de diagnostic de sclérose en plaques, malgré l’extrême dangerosité du gadolinium injecté qui s’accumule dans le cerveau alors qu’il n’y a pas sa place et malgré le fait des 70% de faux diagnostics (faux positifs PNAS) ou absence de validation scientifique des données de cette imagerie fonctionnelle en neurologie. La ponction lombaire est également utilisée malgré le fait qu’elle soit pratiquée de manière douloureuse et anxiogène pour le(la) patient(e) et souvent sans compétence par le praticien. De plus et pour comble, ses résultats ne sont pas tous utilisés. Ce qui confirme outre l’aspect anxiogène et douloureux de celle-ci, et le fait que sur base des résultats de la ponction lombaire on ne peut en aucun cas affirmer qu’il s’agit d’une sclérose en plaques, qu’elle a été pratiquée depuis des années dans le cadre d’un abus d’examens cliniques dans un contexte anxiogène sur patients crédules qui ont au contraire besoin d’un environement calme et apaisant. Non une sclérose en plaque, ce n’est pas une paresthésie d’un pouce. Début août 2017, Ann Boroch, une spécialiste de la sclérose en plaques qui suivait presque 3000 personnes avec une méthode de guérison définitive via ses recherches sur la consommation de certains aliments a été tuée d’après ses parents et ses proches par ce qu’elle apportait un travail de recherches soigné et qu’elle contrait les lobbies pharmaceutiques de la scléroses en plaques (800 euros par patient sans compter tous les dégats et effets secondaires de ces traitements qui provoquent exactement les symptomes de la sclérose en plaques : dont troubles oculaires fréquents, fatigues, paresthésies,…), ce qui ne fait qu’ajouter de la confusion au diagnostic basé sur des éléments non scientifiques (irmf et ponction lombaire). Voici un aperçu de la moralité atroce d’un patron de société pharmaceutique spécialisé dans le vaccin de l’hépatite B et de deux traitements pour la sclérose en plaques (conflit d’intérêts?) cotée en bourse lors des essais cliniques sordides du Tyzabri à Londres (anciennement Antegren remis sur le marché par la force de cabinets d’avocats lobbyistes sous le nom de Tyzabri). Quand les essais cliniques sont en “‘déplacement” en neurologie cad que la société qui les produits se trouve un état complaisant pour les tester, cela veut dire qu’ils sont extremement dangereux pour l’être humain et que tout accident sera mis dans une complexité et confusion des lieux et ensuite dans une confusion du nom que l’on changera rapidement. Le nom du traitement ou du médicament est à présent totalement dissocié des sociétés pharmaceutiques et change d’un pays à l’autre pour amener de la confusion et de la complexité en cas de procès. C’est la méthode des junk edges funds de type subprimes des années 2006 qui est utilisée. Plus il y a de la complexité et de la confusion dans le modèle, les noms utilisés, les lieux des essais cliniques, moins il y a de responsabilités. En tant que parents d’enfants concernés, ces systèmes économiques sont inacceptables pour la survie de l’espèce humaine.
Voir aussi étude PNAS- IRMf et 70% de faux positifs ). Déjà certaines biopsies ouvertes du cerveau effectuées à partir du front sont tellement aléatoires et grossières qu’elles s’apparentent à des actes de barbarie pour lesquels Gaia monterait au créneau si il fallait les appliquer sur les animaux.
La prévention devrait également passer par le politique et l’application d’une restriction au niveau des ondes basses fréquences pour la téléphonie mobile plutôt que par une recrudescence d’opérations au cerveau dangereuses pour l’humanité parce qu’elles en viennent à se banaliser. La mesure V/mètre devrait être une mesure courante, tout comme l’utilisation d’un thermomètre pour mesurer la température. Et cet appareil de mesure devrait être accessible à chacun dès l’entrée dans un nouveau lieu de travail ou d’habitation. Tout comme les gsms à indice DASS trop élevés devraient être interdits à la vente. Le politique devrait veiller à ce qu’aucun gsm non conforme en terme d’indice Dass ne soit vendu sur son territoire. La directive EU dans la législation des pays EU est d’application depuis le 1er janvier 2017 pour les milieux professionnels.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19450310&cfilm=2072.html
G et Out
La psychologie de l’exclusion. Entre l’atmosphère étouffante de la maison bourgeoise de Préjudices et la lobotomie pratiquée par un neuropsychiatre de même acabit que dans “Vol au dessus d’un nid de coucou”. De Michael Abels.
“Mon père aurait voté Obama une seconde fois” dit-elle,…
Ou encore : Black Mirror, black Museum sur Netflix, …
https://www.youtube.com/watch?v=DzfpyUB60YY
B urning Out.
L’absence de sens au travail dans un hôpital. De Jérôme Lemaire, conseillé par Pascal Chabot.
Ou comment “optimiser l’outil humain”?
Là ou un chirurgien passe sa journée à Paris dans un sous-sol (qui s’apparente à une cage industrielle pour poules pondeuses sans fenêtre) à trancher des gorges pour en retirer des thyroïdes et qu’en parallèle une pétition avec plus de 300.000 concerné(e)s (Pétition : mes opinions.com : Contre le nouveau Levothyrox dangereux pour les patients !Auteur : Sylvie Robache Créé le 24/06/2017) en France contre la mise devant le fait accompli d’un traitement de remplacement thyroïde qui a de lourds effets secondaires alors que le précédent qui fonctionnait très bien n’a plus de brevet à été retiré du “marché”. Idem en Belgique, fin 2014, tous les tt de la thyroide ont été retirés des pharmacies.
Dans de tels contextes ou l’hôpital devient un marché économique ou la rentabilité des salles et des examens prestés deviennent l’objectif à atteindre, on ne doit plus s’étonner du nombre d’erreurs de diagnostics et d’erreurs médicales dans certains services aux mains de praticiens en burnout.
https://www.cinenews.be/fr/films/burning-out/
https://www.linkedin.com/pulse/christophe-dejours-les-soignants-sont-contraints-leur-francis-martens/?published=t
I n treatment.
Ou le chemin extraordinaire de l’empathie du thérapeute au fil des consultations. De Rodrigo Garcia. Le fils de Gabriel Garcia Marquez qui supplante son père dans cet exercice.
http://www.hbo.com/in-treatment/about/index.html
Mort sur ordonnances
Pourquoi la prévention des maladies en santé mentale est-elle utile ?
Les limites des traitements pharmacologiques.
Ou pourquoi le psychologue clinicien sera en 2018 confirmé comme practicien de première ligne et travaillera en prévention de façon indépendante avec le médecin généraliste.
Tout psychothérapeute ou coach formé à la gestion des émotions arrive également à des résultats positifs lors de la prise en charge préventive.
Film d’Olivier Pighetti, ou la perception des familles et des patient(e)s.
https://www.youtube.com/watch?v=DLQU7rqGDm8
Incroyable Fondation Roi Baudouin : appel à manifestation d’intérêts 2017/2018. Ou simples subsides européens soumis au critère d’implication de plusieurs universités et à une demande schizophrénique dans la mesure ou l’hopital psychiatrique est en général le lieu des traitements médicamenteux lourds ?
Fondation Roi Baudouin
The Fund for Research in Psychiatry aims to fund research projects which can contribute to a better understanding of psychiatric disorders and improve the quality of life of people with mental health problems.
One or two grant(s) up to € 150.000 will be awarded to a research institute working in the field of psychiatry for adult populations (ages 18 to 64) aimed at developing research with a particular focus on non-pharmacological treatments & therapies for psychiatric disorders.
Who is it for? Research institutes working in the area of mental health and psychiatry.
Submit until 30/10/2017.
Il s’agit de priviliéger de façon gratuite les enseignements de type Ulmer, Ovide DeCroly, Maria Montessori …
La leçon magistrale de Chris Ulmer qui devrait être partagée et au programme de toutes les écoles.
https://www.youtube.com/watch?v=4UZ_lWr028o
https://www.rtbf.be/info/opinions/detail_une-ecole-des-causes-gagnees?id=7836656
http://terrehap.fr/la-premiere-ecole-auto-suffisante-damerique-latine/
https://www.youtube.com/watch?v=oHqOkCcNx24
La prévention en santé mentale passe aussi par l’éducation à une alimentation cohérente. Voir l’expérience en Australie avec des très jeunes enfants, les parents et le corps enseignant.
Voie également l’excellent documentaire de Joaquin Phoenix : What the Health.
http://terrehap.fr/rennes-210-000-habitants-vers-lautosuffisance-alimentaire/
Comment le cinéma peut-il servir de propagande et être au service de maladies neuro-psychiatriques inventées ?
Comment l’industrie pharmaceutique amène en 2015 une maladie “inventée” dans l’inconscient collectif via le cinéma et des prix internationaux ?
S till Alice, écrit par une ex de l’industrie pharmaceutique.Ou l’alzheimer précoce, une maladie qui n’existe pas mais que l’industrie va créer avec des statistiques, des experts, des effets secondaires, des stagiaires dans les universitaires, de la recherche …sur base d’un film qui utilise les émotions du spectateur pour assoir sa crédibilité.
Traiter un Alzheimer c’est quand une personne ne reconnait plus son fils ou sa fille. Ce n’est en aucun cas quand son agenda est mal tenu. Si elle est désorientée, elle l’a probablement toujours été et elle est peut être tout simplement dyslexique voir gauchère ou retirée de son environement quotidien habituel. Des médicaments anxiolytiques de type atarax, provoquent aussi de la confusion mentale et de la désorientation spatiale.
De nombreux examens peu crédible aident essentiellement certains “pressés” dans la famille à mettre la main sur l’héritage en utilisant les mêmes stratagèmes et les mêmes “bras armés ” cachés derrière “celle ou celui qui n’a rien à voir” que dans le premier film cité : Préjudices
Consulter à ce sujet Alzheimer
http://www.mythe-alzheimer.org
ou la Revue prescrire :” tous les traitements Alzheimer sont néfastes”. “Or les traitements prolongés n’ont pas d’efficacité démontrée et sont dangereux. Deux essais cliniques, d’une durée de 2 ans, ont en effet montré une mortalité plus élevée sous galantamine que sous placebo. La cause du décès a souvent été cardiovasculaire. Dans un essai à 3 ans, la mortalité est apparue plus élevée avec le donépézil qu’avec le placebo”. http://www.prescrire.org/Fr/3/31/49109/0/NewsDetails.aspx
Juin 2018 : Prescrire : Médicaments de la maladie d’Alzheimer : enfin non remboursables en France !
“Les médicaments de la maladie d’Alzheimer disponibles mi-2018 ont une efficacité minime et transitoire. Ils exposent à des effets indésirables graves, disproportionnés, parfois mortels. Mieux vaut les écarter des soins, et se concentrer sur l’aide à l’organisation du quotidien, le maintien d’activité, l’accompagnement et l’aide de l’entourage.
« Ils sont peu maniables en raison d’effets indésirables disproportionnés et exposent à de nombreuses interactions. Aucun de ces médicaments n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance et ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels. Or ils sont utilisés en traitement prolongé et impliqués dans des interactions dangereuses. Mieux vaut se concentrer sur l’aide à l’organisation du quotidien, le maintien d’activité, l’accompagnement et l’aide de l’entourage ». Ce constat figure depuis 2014 dans le dossier Prescrire “Pour mieux soigner, des médicaments à écarter”, téléchargé des centaines de milliers de fois sur le site www.prescrire.org (1).
En France, en mai 2018, la ministre de la santé en a tenu compte. Elle a décidé qu’à partir du 1er août 2018 ces médicaments ne seraient plus remboursables ni agréés aux collectivités : donépézil (Aricept° ou autre), galantamine (Reminyl° ou autre), rivastigmine (Exelon° ou autre), et mémantine (Ebixa° ou autre) (2,3). Cette mesure était prévisible. Fin 2016, la Commission de la transparence de la Haute autorité de santé (HAS) avait conclu que leur service médical rendu (SMR) est insuffisant, et elle avait en conséquence demandé leur déremboursement. Le Remynil/Galantamine provoque un fort amaigrissement avec dénutrition.
(4,5).https://alzheimerparprescripton.wordpress.com/2015/10/10/introduction-aux-neurotoxiques-et-aux-medicaments-neurotoxiques-3/
Il est aussi normal que la saturation cognitive liée à un excess d’utilisation de nouvelles technologies voir mesures du temps passé sur le Web, tablette, smartphone) amène à des pertes de mémoire passagères et autres symptômes, (voir technostress). D’où l’importance des temps de déconnection.
https://www.youtube.com/watch?v=ZrXrZ5iiR0o
Autre documentaire intéressant sur l’obsolescence humaine programmée par les nouvelles technologies et l’absence d’éthique avec pour conséquence des dégats majeurs dans les familles : Les Blessures de la médecine
Page dédiée au médecin Ann Boroch et à la mémoire du jeune Séverin Buxant décédé début aout 2012 d’un traitement dangereux pour la sclérose en plaques cad du Tyzabri , (= l’Antegren en essais cliniques effectués à Londres en 2005 sur un autre continent que la société pharmaceutique : essais cliniques avec décès dans des conditions atroces) sur base d’un diagnostic aléatoire tantôt cardiaque tantôt neurologique. Pour rappel, personne ne meurt d’une sclérose en plaques. Elle se déclare vers 65 ans. Très exceptionelement vers 20 ans suite à une période d’anxiété, de pression ou de stress avec un handicap physique réversible de la marche. Traiter ancipativement des jeunes qui marchent avec des lourds traitements neurologiques sans même leur avoir fait un des 2 tests de la maladie de Lyme prouve les dérives abjectes de ce système. On meurt avec la sclérose en plaques de vieillesse dans son lit. Or actuellement on meurt de traitements expérimentaux à 800 euros mensuels sur base d’Irms fonctionnelles qui ne sont pas validées. Leurs vies à tous les deux étaient faites de projets, d’amour et de joie de vivre. Tous les jeunes qui ont eu un diagnostic de sclérose en plaques avec bolus de cortisone à partir des années 2000 jusqu’en 2016 devraient faire réévaluer la manière dont le diagnostic a été posé. Cette réévaluation devrait être effectuée chez de jeunes neurologues triés sur le volet sans liens avec l’industrie pharmaceutique, et pratiquant hors des cliniques universitaires avec des psychologues cliniciens. C’est le moins qu’on puisse leur offrir. La sécurité sociale serait impactée moins négativement.
Cette page met en avant que la technologie (Irmf) est parfois aux services de pose de diagnostiques non éthiques (faux positifs) , basés uniquement sur la recherche du profit. Les essais cliniques en neurologie et en psychiatrie devraient être testés en phase initiale sur du personnel volontaire du laboratoire pharmaceutique et jamais dans un pays éloigné du lieu de production.
C’est un courant éthique et philosophique qui devrait faire réévaluer les liens entre les examens dans hôpitaux universitaires et les sociétés pharmaceutiques.
Il s’agit aussi de travailler la prévention des maladies chroniques prévisibles dans le cabinet du médecin généraliste ainsi que la prévention des stress chroniques en collaboration avec des psychologues, thérapeutes et coaches spécialisés pour arrêter l’obsolescence humaine programmée sur personnes vulnérables.